La génération Y, vous connaissez?

Compte rendu de la conférence Ice Break

« Génération Y : comment communiquer ? »

Pierre Guilbert

Organisée par Igretec, le 3 avril 2015

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Cher(e) abonné(e) à Alternative-Politique,
Voilà deux mois que nous avons créé le nouveau parti politique Oxygène. Vous nous avez marqué votre soutien en vous abonnant et nous vous en remercions. Le changement politique est à notre portée. La toute première info que nous voulons partager avec vous est la mise en ligne de notre site à l’adresse www.oxygene.be.
Vous y trouverez toutes sortes d’informations. Pourquoi choisir le changement maintenant ? Pourquoi choisir Oxygène ? Etc. Le site s’enrichira au fur et à mesure, en particulier d’un onglet de partage d’informations entre citoyens (forum, organisation d’événements, etc.).
N’hésitez pas à aller le visiter, à vous y inscrire et à le partager. La visibilité que vous offrirez à Oxygène est notre meilleur gage de réussite.
Et aussi… une première rencontre 

Quoi? L’éthique en politique ! Tout un programme.

Quand? Dimanche 19 novembre prochain de 10h à 12h

Où? A Namur centre.

Cette première rencontre se veut avant tout conviviale :

  • Présentation d’Oxygène.
  • Deux intervenants extérieurs nous font part de leur lutte pour plus d’éthique en politique :
    • Christophe Van Gheluwe, cofondateur de beetcumuleo.be
    • Jean-François Mitsch, lanceur d’alerte sur le dossier Electrabel/Ores.
  • Partage d’idées sur l’éthique en politique.
  • Moment de convivialité et de rencontre.
Inscription obligatoire ici.
En vous remerciant pour votre fidélité, nous vous envoyons une grosse bouffée d’air frais.
Oxygène.
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Publié le par Walter et Barbara | 2 commentaires

livre WFLe livre est disponible soit directement chez l’éditeur , soit dans toute bonne librairie. Au plaisir d’en discuter avec vous.

Résumé du livre

Faut-il le rappeler? La Wallonie-Bruxelles va mal sur le plan socio-économique. Quelques éléments de réflexion.

  • La croissance de la Wallonie-Bruxelles stagne.
  • Le taux d’emploi augmente à peine.
  • La circulation en voiture dans les grandes villes : catastrophique.
  • 1 train sur 4 en retard. Les trains roulent aujourd’hui plus lentement qu’en 1990.
  • Le RER : 20 à 25 ans de retard
  • Le photovoltaïque : en faillite financière – 3.5 à 4 milliards de dérapage budgétaire.
  • La gestion des centrales nucléaires : On ferme, on ferme pas, on fermera peut-être.
  • Le prix de l’électricité : un des plus chers d’Europe.
  • L’enseignement obligatoire : tous les indicateurs sont au rouge depuis au moins 15 ans.
  • Les places dans les crèches : un manque criant.
  • Les tunnels et viaducs bruxellois : dans un état lamentable faute d’entretien.
  • La pollution dans les grandes villes : la Belgique vient de se faire condamner par l’Europe.
  • La justice: le plus haut magistrat de Belgique, Jean de codt, en mai 2016 ici à la RTBF dit que la Belgique se rapproche d’un état voyou: Et après ? rien.
  • Le Forem n’atteint pas ses objectifs depuis plus de 5 ans malgré plus de 4.300 collaborateurs.
  • Etc…

25 % du livre Alternative est consacré à détailler ces constats. Mais alors qu’est-ce qu’on fait ? Et je me suis aussi posé cette question comme des milliers de Wallons et Bruxellois, je crois.

Ma réponse, elle est  en 5 points :

  • Cette situation n’est pas une fatalité. D’autres régions d’Europe ayant subi une crise industrielle comparable à celle qu’a subie la Wallonie ont retrouvé des niveaux de prospérité remarquable.
  • Les partis traditionnels PS, CdH, MR, et en partie Écolo, sont responsables du marasme socio-économique dans lequel nous sommes plongés. La situation que nous vivons est due à une mauvaise   gestion, à de mauvais choix stratégiques posés par nos dirigeants politiques, au manque d’éthique à grande échelle et au système oligarchique mis en place. Des hommes politiques sont plus préoccupés à rester en place que de gouverner au bénéfice du peuple et cela au moins depuis ces 60 dernières années. Car oui… il y a près de 60 ans que la crise a commencé en Wallonie-Bruxelles. La politique et l’administration sont les seuls endroits ou ceux qui font du mauvais boulot peuvent continuer à sévir… tranquillement et très longtemps.
  • Les solutions raisonnables existent.
    Nous avons identifié plusieurs chantiers stratégiques nécessitant des réformes  structurelles profondes. Ces réformes sont à notre portée mais elles vont remettre en cause le pouvoir de l’oligarchie socio-économico-politique au pouvoir. Ceux-là même qui prennent les décisions aujourd’hui.
  • Rien ne s’améliorera sans une révolution citoyenne.
    N’espérons rien de la classe politique actuelle, la rupture ne viendra que si la société civile et socio-économique l’impose.
    Voyez Publifin, le kazakgate, … la tension médiatique est retombée. Les dossiers sont enterrés.
    Les acteurs principaux de notre société sont puissants à bloquer tout mécanisme de changement qui s’attaquerait aux intérêts des groupes dont ils se revendiquent.
    Les conservatismes sont forts et traversent toutes les couches de la population tant à gauche qu’à droite, dans tous les milieux. Rester en place à tout prix, maintenir sa zone de confort même au détriment d’un grand nombre…. Voilà l’objectif inavoué mais si prégnant des acteurs principaux de notre société. Ceci au mépris de résultats concrets insatisfaisants pour la majorité. Parfois (souvent) leur ambition de puissance et d’enrichissement personnel prend le pas sur la gestion correcte de la chose publique. Tout le monde se souvient de l’invective de Di Rupo à l’adresse « des parvenus » de son parti. Sans doute, conviendrait-il de l’étendre bien au-delà du PS. Pour porter ses fruits, cette révolution devra s’attaquer à ces arrangements entre amis ou amis-ennemis souvent conclus sur le dos bienveillant d’un Etat providence à bout de souffle aujourd’hui.
    Si l’on souhaite agir pour l’émergence d’un autre projet de société, induire les changements dont notre société a besoin, la solution passera par la prise de pouvoir citoyenne et par l’émergence d’un mouvement suffisamment lourd électoralement pour qu’il puisse peser sur le pouvoir en place.
  • Le livre s’arrête à la première phase de cette révolution citoyenne: informer, conscientiser, fédérer…

 

 

Publié le par Walter et Barbara | 2 commentaires

La visibilité nous permet d’avoir un véritable pouvoir d’action. Rendez-vous le 19 novembre 2017 de 10h à 12h, sur invitation uniquement, pour réfléchir aux propositions d’Oxygène en matière d’éthique en politique, lieu encore à convenir. Au plaisir de vous y rencontrer.

Le Vif

7sur7

RTBF (extrait du JT sur l’engagement des citoyens en politique)

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Sous prétexte que chaque région aurait des besoins spécifiques, les régionalistes préconisent de multiplier les structures décisionnelles et veulent le morcellement des moyens. Nous pensons que nous avons beaucoup plus à gagner à construire ensemble.

http://www.levif.be/actualite/belgique/wallonie-bruxelles-ne-les-laissons-pas-nous-diviser-encore-plus/article-opinion-724015.html

 

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Grand merci à tous ceux qui se sont inscrits à nos publications. Des articles vont arriver rapidement sur la synergie Wallonie-Bruxelles et sur l’implication des citoyens dans la vie politique. N’hésitez pas à entamer le débat, c’est ce que nous cherchons à faire : informer et permettre à ceux qui le souhaitent de prendre position.

En attendant, une partie de la presse à relayer l’information de la création du parti Oxygène. Merci à elle. Voici les liens.

  1. Le Vif : Ces mouvements qui veulent changer la politique et Oxygène, le nouveau parti citoyen
  2. L’avenir : Ils fondent leur parti pour lancer une révolution « citoyenne »
  3. Télésambre : Un parti politique né d’un ras-le-bol citoyen
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Les administrateurs du groupe « Trop is te veel » [1] ont rédigé un manifeste pour rendre illégal ce qui est immoral, notamment dans la gestion des organismes publics. Qu’en ont fait les président-e-s de partis, pourtant sollicité-e-s personnellement ? Un accusé de réception. Sinon rien.  Les derniers développements de l’actualité politique en Wallonie et Bruxelles le montrent à suffisance.

Nous sommes le 25 juillet 2017.

Deux partis, MR et Cdh, s’apprêtent à organiser une nouvelle majorité en Wallonie. Quelles garanties de bonne gouvernance offrent-ils aux citoyens ? Aucune ! Ils ont été incapables de se mettre d’accord, au préalable, avec Ecolo, sur des mesures de bonne gouvernance et ils ne parlent même plus d’éthique depuis le probable accord de majorité. Cela ne présage rien de bon en termes de renouveau et d’éthique politique en Wallonie.

Par ailleurs, trois partis, Groen, Ecolo et Défi, se sont mis d’accord sur une feuille de route « pour refonder la démocratie et assainir les partis politiques »[2]. Enfin ! Certains se soucient d’éthique et parviennent même à un accord.

Néanmoins, nous voulons dénoncer ce qui nous semble être un accord vague, imprécis, incomplet, non contraignant, sans objectifs évaluables, quasiment sans contrôle et sans sanctions prévues. Et qui laisse même le champ aux abus habituels. Bref, cet accord est inacceptable pour les citoyens qui attendent beaucoup plus.

Voyons-en quelques beaux morceaux.

  • Cet accord permet aux parlementaires de continuer à cumuler (des fonctions autres que communales) et à toucher près de 8.000 € net par mois (150 % de l’indemnité parlementaire). Grande avancée, on nous annonce que la présence effective, le travail réellement effectué et les responsabilités assumées seront vérifiées. Par qui ? Comment ? On ne le dit pas. Va-t-on installer des pointeuses dans les parlements ?
  • Sur les frais de représentation forfaitaires, rien ! Pas un mot. Ils continueront à tomber tous les mois sans justificatifs. Juste inimaginable.
  • Quant aux dirigeants des organismes d’intérêts publics (OIP) et assimilés, ils n’ont pas de soucis à se faire. Pour eux, il n’y a simplement pas de limites ni de cumul de fonctions, ni de cumul de rémunérations.
  • Le texte dit qu’il faudra préciser et compléter une liste des incompatibilités pour réduire les conflits d’intérêts. Mais qui va rédiger cette liste ? Sera-t-elle soumise au contrôle citoyen ? Rien n’est prévu.
  • La Commission de déontologie, composée en partie d’anciens mandataires politiques, est chargée de contrôler et de sanctionner les cas de conflits d’intérêt. On voit bien avec la levée de l’immunité parlementaire que, quand des mandataires doivent se prononcer sur d’autres mandataires, c’est la porte ouverte à tous les… conflits d’intérêt. Pourquoi ne pas soumettre ce contrôle à un organisme indépendant comme la Cour des comptes, par ailleurs bien au fait de mécanismes politico-financiers ?
  • Si un mandataire se déclare être en conflit d’intérêt sur telle ou telle question, que se passe-t-il ? Participe-t-il quand même aux débats et aux votes litigieux ? Rien n’est prévu.
  • Le chapitre sur la gouvernance, sur l’impartialité et l’efficacité de l’administration et des OIP, sur la simplification des structures, la transparence et l’accès à l’information pour les citoyens, est un catalogue de bonnes intentions, de propositions vagues, suffisamment imprécises pour être inapplicables ou contournables.
  • Le 3ième chapitre porte sur la démocratie et la participation citoyenne. Là aussi quelle déception. On y prévoit le décumul intégral entre mandats parlementaires et communaux. Pour les autres cumuls ? Rien. On y prévoit la création d’un forum de citoyens dans chaque assemblée parlementaire bruxelloise. Selon quelles modalités ? Avec quel pouvoir et quelle contrainte vis-à-vis des élus ? On ne sait pas.
  • L’interdiction aux parlementaires ou membre d’un exécutif local d’exercer en tant qu’avocat, réviseur, notaire,… comme conseil d’une autorité administrative ou contre l’Etat doit être étendue aux membres de la famille et collaborateurs avérés.
  • Rien non plus sur la suppression de ces mécanismes électoraux qui permettent de faire placer son fils ou sa fille aux bonnes places sur les listes électorales.
  • Rien sur la suppression de la dévolution de la case de tête ou sur la confection des listes électorales.
  • Rien sur le financement biaisé des partis.
  • Rien sur ce qui se passe avec les mandataires mis en examen ou suspectés (Comme Madame Milquet dont Monsieur Maingain voulait pourtant la peau). Doivent-ils démissionner ou pas ? On n’en sait rien.
  • Rien sur le contrôle de ces innombrables ASBL et autres organismes publics subsidiés par les finances publiques.

Madame Onkelinks annonce que le PS bruxellois soutient les mesures de gouvernance d’Ecolo et Défi[3]. Et pour cause. D’abord parce qu’elle n’a guère le choix si le PS veut garder le pouvoir. Ensuite parce que l’éthique concerne essentiellement les mandataires et non les dirigeants et personnel des OIP, contrôlés, pour la plupart, par le PS. Enfin, parce que le texte est suffisamment vague pour dire des choses aujourd’hui et faire son contraire demain.

D’ailleurs, un des commentateurs[4] sous l’article de la Libre s’exclame : « […] Bravo les avocats, bravo les techniciens ! […] » Les écuries ne sont pas prêtes d’être nettoyées.

Qu’ont fait les président-e-s de partis du manifeste de TITV ? Rien… Preuve, si besoin était, qu’ils préfèrent faire leur popote entre eux. Devons-nous comprendre que la seule chose qu’ils entendent est le rapport de force électoral ?

[1] https://www.facebook.com/groups/tropisteveel.be/

[2] La Libre, 19 juillet 2017.

[3] Le Soir, 20 juillet 2017.

[4] Martin Adams, La Libre, 19 juillet 2017.

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Comme vous, sans doute, nous découvrons consternés et écœurés, chaque jour un peu plus, l’ampleur de la cupidité, du manque d’éthique et de moralité d’une grande partie du monde politique qui nous gouverne.

Trop is te veel fait du bon boulot mais obtient des résultats insuffisants

Comme beaucoup de gens, nous avons adhéré au groupe « Trop is te veel ». Et nous trouvons qu’ils font du bon boulot. Aussi bien en lanceur d’alerte qu’en concepteur de propositions constructives. Merci à eux pour l’importante énergie et au temps qu’ils y consacrent.

On ne peut malheureusement que constater qu’à l’heure actuelle, l’impact des presques 30.000 adhérents des « trop is te veel » est marginal.

L’éthique, ils n’en veulent pas

Le MR et le CDH ne sont même pas foutus de s’accorder sur le décumul complet des mandats et de leurs rémunérations. Maingain, ce fort en gueule réclame l’éviction de Milquet et des autres. Mais dès qu’il s’agit de préserver le pouvoir de Défi à la région Bruxelloise, il trouve subitement que le PS bruxellois (Onkelincks en tête) est tout à fait fréquentable. Comme les autres, Maingain, bon cumulard, s’assied sur ses principes dès qu’il sent l’odeur du pouvoir.

Bref, la classe politique actuelle dans son ensemble n’a pas compris qu’il est temps de changer fondamentalement de pratiques politiques et pas seulement quelques détails pour faire taire le peuple.

La gangrène est quasi généralisée

Il faut bien admettre aujourd’hui que la gangrène de notre classe politique est quasiment généralisée: Kazakhgate, Publifin, Isppc, samusocial, etc … Bref, un monde d’apparatchiks  qui gouvernent  à leur profit plutôt que pour l’intérêt général.

 La situation socio-économique est très préoccupante

Alors que la population de la Wallonie-Bruxelles souffre, alors que quasiment rien ne fonctionne correctement :

Le logement en Wallonie-Bruxelles, un des plus vétustes d’Europe – les bouchons sur les routes, quotidiens – 1 train sur 4, en retard – le RER, enlisé – le photovoltaïque, en faillite financière – le prix de l’électricité, un des plus chers d’Europe – le manque d’emploi, permanent depuis 50 ans – le manque de place dans les crèches, criant… et encore tellement d’autres choses qui dysfonctionnent.

Et ce n’est rien par rapport à ce qui nous attend : le coût du vieillissement, l’ubérisation de la société, la numérisation des services, l’industrie 4.0, …

Pourtant, des solutions existent

Face à ce chaos, la classe politique nous montre, tous les jours, son incapacité à prendre la mesure de la situation et à trouver des réponses adéquates.

Alors que des solutions simples, pragmatiques, efficaces existent mais qui mettraient, sans doute, en péril leurs petits pouvoirs.

La population s’en rend compte et commence à angoisser sérieusement pour son avenir.

Nous avons décidé de nous engager vraiment car nous estimons en avoir la responsabilité morale pour nos enfants et nos petits-enfants.

Malheureusement, nous devons constater qu’aucune alternative politique crédible et non extrémiste n’existe.

C’est pourquoi nous avons décidé

                              de créer un nouveau parti politique « OXYGENE »

  • Ce nouveau parti, OXGENE, nous le voulons ouvert à tous : peu importe la religion, la race, l’orientation sexuelle, l’âge, l’origine sociale.
  • OXYGENE s’impose des pratiques internes encore jamais vues concernant par exemple la constitution des listes électorales, l’éthique, etc…
  • OXYGENE veut des solutions concrètes, pragmatiques, généralement validées par des gens de terrain, applicables de suite et qui donnent des résultats. Peu importe qu’elles soient inspirées de gauche ou de droite.
  • OXYGENE s’engage à mettre en œuvre une « autre voie » qui allie le meilleur du libéralisme : le dynamisme, la responsabilisation individuelle, la récompense de l’effort, et le meilleur du socialisme : le souci de la cohésion sociale, de la défense des plus faibles, de l’équité sociale, de l’ascenseur social…

                             Oui, C’est possible. Et nous le voulons de façon radicale.

Objectifs  pour la décennie à venir

  • Moraliser la vie politique.
  • Moderniser notre machine économique en profondeur. Il s’agit, entre autres, de faire adopter par les patrons et syndicats un pacte de compétitivité-emploi en Wallonie-Bruxelles.
  • Réformer notre enseignement.
  • Orienter les services publics vers les besoins de la population.
  • Réformer notre fiscalité et notre sécurité sociale.
  • Rendre la justice rapide, juste, équitable et indépendante.
  • Organiser notre territoire en matière d’urbanisme, de mobilité, de politique de sécurité, etc… de façon à favoriser un vivre-ensemble harmonieux et équilibré, basé sur les liens humains et la solidarité sociale plutôt que sur la course effrénée à la consommation.
  • S’engager vers la transition écologique.
  • Enfin, traiter la question de l’immigration dans notre région.

Plus d’info sur notre projet.  

Vous pouvez avoir un petit aperçu des idées que nous défendons en parcourant ce site : www.alternative-politique.be. Les livres que nous avons écrits, Barbara et moi, sont aussi pour nous une sorte de fil rouge.

N’hésitez pas à réagir et à nous interpeller. Nous vous répondrons dès que possible.

                       Rejoignez-nous pour faire respirer la Wallonie-Bruxelles

Votre participation, nous la sollicitons et elle peut se traduire de multiples façons, de la plus contraignante à la plus « soft ». Tout est à construire.

Concrètement, envoyer-nous vos coordonnées via le formulaire de contact.

Nous ne manquerons pas de vous recontacter dès que possible.

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Parce que nous ne pouvons rester indifférents, parce que nous ne pouvons plus laisser faire nos politiques qui ne s’occupent que de leur réélection prochaine.

Notre coup de gueule à propos des SDF de Maxime Prévot dans une carte blanche publiée dans Le Vif.

 

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Les experts ont rêvé, aux acteurs de terrain à atterrir…

Carte blanche publiée dans Le Vif Opinions de ce mercredi 29 mars 2017.

 

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Notre carte blanche sur notre ras-le bol :

http://www.levif.be/actualite/belgique/mesdames-et-messieurs-les-politiques-vous-ne-mesurez-pas-notre-ras-le-bol/article-opinion-616967.html

 

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